Résumé
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Les syndicats peuvent contribuer à la liberté au travail par une action collective axée sur l'intérêt des membres, mais aussi en nouant des partenariats avec d'autres acteurs de la société civile, dans le cadre d'un mouvement social. Pour traiter ce dernier aspect, encore peu documenté, les auteurs s'appuient sur les définitions de la liberté de Berlin (1988) et MacCallum (1967) puis sur la théorie de la démocratie radicale de Laclau et Mouffe (2019). Ils illustrent leur propos par une étude de cas portant sur les stratégies déployées par des syndicats néozélandais en vue d'accompagner l'action officielle pour une transition juste face au défi climatique.Mots clés: syndicalisme, Nouvelle‐Zélande, liberté, droits des travailleurs, action collective, mouvement social
Rights: © Auteur(s), 2022. © Compilation et traduction des articles: Organisation internationale du Travail, 2023.